Au-delà des idées reçues sur la philanthropie
Quand j’étais enfant, l’image qui me venait à l’esprit lorsqu’on parlait de philanthropie était celle d’un homme dans la cinquantaine, blanc, cravaté, arborant un léger sourire sur une photo en demi-profil. Cette photo était typiquement accompagnée d’un message de remerciement sur la première page d’un magazine imprimé sur papier glacé. Je croyais alors que le geste de ces philanthropes, donner de l’argent, améliorait automatiquement la vie des personnes bénéficiaires.
Au-delà des idées reçues sur la philanthropie
Déconstruire les mythes de la philanthropie
Déconstruire les mythes de la philanthropie
Depuis mon arrivée dans l’équipe de Mission inclusion, j’ai découvert que le travail d’une fondation est nettement plus complexe. Comme le soulignent les responsables de Trust Based Philanthropy :
Nous considérons souvent la philanthropie comme une simple équation d’entrées et de sorties, en présumant une relation de cause à effet entre l’investissement et les résultats. Pourtant, pour soutenir un véritable changement dans les domaines sociaux, environnementaux, politiques et économiques, nous devons accepter que ce travail soit complexe, progressif, désordonné, imprévisible et tout sauf simple.
Les fondations au Canada : une réalité méconnue
Une cartographie récente du milieu philanthropique canadien révèle que la majorité des fondations fonctionnent sans personnel. Seulement 26 % des fondations publiques et 9 % des fondations privées déclarent avoir des membres du personnel. Parmi celles-ci, la grande majorité (85 % des privées et 75 % des publiques) compte moins de 10 personnes.
« 10 personnes, c’est toute une équipe », pourrait-on dire. Et bien sûr, cela dépend du travail à entreprendre : si l’on croit que le travail consiste uniquement à transférer de l’argent d’un endroit à un autre puis à le communiquer, cela pourrait fonctionner, mais la réalité c’est que pour être un agent de changement, il faut mobiliser des professionnels et professionnelles de divers secteurs.
Les fondations au Canada : une réalité méconnue
Une cartographie récente du milieu philanthropique canadien révèle que la majorité des fondations fonctionnent sans personnel. Seulement 26 % des fondations publiques et 9 % des fondations privées déclarent avoir des membres du personnel. Parmi celles-ci, la grande majorité (85 % des privées et 75 % des publiques) compte moins de 10 personnes.
« 10 personnes, c’est toute une équipe », pourrait-on dire. Et bien sûr, cela dépend du travail à entreprendre : si l’on croit que le travail consiste uniquement à transférer de l’argent d’un endroit à un autre puis à le communiquer, cela pourrait fonctionner, mais la réalité c’est que pour être un agent de changement, il faut mobiliser des professionnels et professionnelles de divers secteurs.
Voyons de plus près tout ce que nous
faisons au quotidien :
L’équipe de développement philanthropique assume plusieurs
responsabilités essentielles :
L’équipe des finances joue un rôle crucial dans :
Les équipes programmatiques sont au cœur de notre mission :
L’équipe des communications veille à notre rayonnement par :
L’équipe des ressources humaines assure que nos valeurs
s’incarnent à l’interne :
Voyons de plus près tout ce que nous
faisons au quotidien :
L’équipe de développement philanthropique assume plusieurs
responsabilités essentielles :
Identification et analyse des opportunités de financement.
L’équipe des finances joue un rôle crucial dans :
Les équipes programmatiques sont au cœur de notre mission :
L’équipe des communications veille à notre rayonnement par :
L’équipe des ressources humaines assure que nos valeurs
s’incarnent à l’interne :
La force du changement social
Ouf ! Je pourrais continuer. Mais le message est clair : en cette Journée nationale de la philanthropie, célébrons le travail acharné et constant des professionnelles et professionnels qui œuvrent dans ce secteur. Leur expertise et leur engagement, conjugués à la générosité des donatrices et donateurs, créent cette synergie essentielle au changement social durable.
La force du changement social
Sofia Urrutia
Conseillère principale
Mobilisation des savoirs
Mission inclusion